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Les décès et risques liés aux thérapies géniques du COVID19

Austin G. Walters

11 juin 2021


J’ai eu quelques hésitations avant de traiter cette question, cependant, désormais, je pense que nous devons faire face à des décès et à des risques significatifs liés au vaccin du COVID19. Et je crois que c'est indéniable. C’est un sujet délicat, mais ne détournez pas les yeux, je vous en conjure… La situation est critique.


Le taux de vaccination aux USA

Aujourd’hui aux USA 53% de la population a reçu au moins une dose vaccinale (rose) et 47% deux.




Même s’il est évident que le taux de vaccination ralentit, il continue d’augmenter doucement. Il est important de noter que ces vaccins mettent du temps à donner tout leur effet — plusieurs semaines — https://www.cdc.gov/coronavirus/2019-ncov/vaccines/different-vaccines/how-they-work.html. Cependant, on ne sait pas très bien combien de temps la protéine spike reste dans le corps, mais nous savons que cette protéine spike (spicule) du SARS-CoV-2 provoque des dégâts. https://medicalxpress.com/news/2021-04-sars-cov-spike-protein-lung.html?fbclid=IwAR2rhb1gHp_K9GRzdfqzBd4owqgnoGtUAgQQL4ixEn5xjfiI7SSqc01pPfQ#:~:text=Using%20a%20newly%20developed%20mouse%20model%20of%20acute%20lung%20injury,severe%20inflammation%20of%20the%20lungs.


La concentration du vaccin dans les tissus et les organes, sa reproduction et le cancer

Les dégâts provoqués par la protéine spike crée par le vaccin ARNm sont peut-être les mêmes que ceux entrainés par le COVID19 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7646020/?fbclid=IwAR1O_Df165FhqMGGCNWEcTEqMcL1wKa8tK0xeb9QBinHi54dMlu5iOD9bJ4 ; Cela dit, les protéines spike créées par les vaccins ARNm n'ont aucun élément médiateur et proviennent de cellules multiples dispersées dans tout notre système. Concernant le vaccin Pfizer, nous avons cette étude japonaise qui montre comment le vaccin ARNm se diffuse en effet dans le corps sur une période de 48 heures, et dont voici les données :



Au bout de 48 heures, le vaccin ARNm de Pfizer va atteindre sa plus haute concentration dans les ovaires et dans la moelle osseuse (concentration qui semble continuer encore de s’accroître après). Qui plus est, le 1er décembre 2020, deux éminents scientifiques ont essayé de freiner la campagne vaccinale dans l’UE. Ils affirmaient que ce vaccin était susceptible de provoquer de l’infertilité https://austingwalters.com/wp-content/uploads/2021/06/Wodarg_Yeadon_EMA_Petition_Pfizer_Trial_FINAL_01DEC2020_signed_with_Exhibits_geschwarzt.pdf-Wodarg_Yeadon_EMA_Petition_Pfizer_Trial_FINAL_01DEC2020_EN_unsigned_with_Exhibits.pdf.

Mais d’après ces données, il semble bien que nous ayons à faire face à des risques potentiels de maladies auto-immunes et de cancers (à cause de la concentration de protéines spike dans la moelle épinière), d’infertilité et de défauts génétiques (à cause de la concentration de protéines spike dans les ovaires).

Le taux de mortalité hebdomadaire d’après le CDC

Le taux de mortalité en 2020 est nettement plus haut que la normale.



Il est important de noter que nous n’avons pas dans la courbe ci-dessus les données pour les semaines les plus récentes. Vraisemblablement, il y aura encore des ajustements, et ce, jusque dans un an au moins. Cependant, dans les données plus récentes (jusqu’au 18 juin), la classification « symptômes, signaux, les cas cliniques et de laboratoire anormaux, qui ne sont pas classifiés ailleurs » (R00-R99) s’accroit toujours à partir des dates les plus récentes. On pourra le constater sur cette saisie d’écran ci-dessous, que les chiffres des R00-R99 collectés par le CDC paraissent bien changer en fonction de la date.https://twitter.com/piercedgeek/status/1405996230753370117



Nous pouvons ici ignorer le COVID19 et les multiples autres formes de décès pour nous focaliser sur deux en particulier : « grippe et pneumonie » (J09-J18) et « symptômes, signaux, les cas cliniques et de laboratoire anormaux, qui ne sont pas classifiés ailleurs » (R00-R99).



D’après ces courbes, il est clair que, depuis que la campagne vaccinale a débuté, la catégorie « symptômes, signaux, les cas cliniques et de laboratoire anormaux, qui ne sont pas classifiés ailleurs » (R00-R99) connait une augmentation significative.

À quoi correspondent les codes R00-R99 ? https://www.icd10data.com/ICD10CM/Codes/R00-R99

Les conditions morbides et les signaux ou symptômes inclus dans les catégories R00-R99 sont les suivants :

(a) les cas pour lesquels aucun diagnostic spécifique ne peut être fait même après avoir enquêté sur tous les ce qui se rapporte au cas en question ; (b) les signaux et symptômes existant au moment de la rencontre initial avec le patient the qui se sont avérés transitoires et dont on n’a pas pu déterminer les causes ; (c) les diagnostics provisoires chez un patient qui n’est pas revenu pour une recherche plus approfondie sur son état ni pour des soins ; (d) les cas enregistrés ailleurs pour une recherche plus approfondie leur état ou pour un traitement avant que le diagnostic ne soit fait ; (e) les cas pour lesquels un diagnostic plus précis n’était pas disponible pour toute autre raison ; (f) certains symptômes pour lesquels une information supplémentaire est fournie et qui représentent en eux-mêmes d’importants problèmes pour les soins médicaux.

Une chose est claire : les décès associés aux codes R00-R94 s’élèvent à 25800 cas au-dessus de la normale depuis février.

Pour vraiment bien faire comprendre à quel point nous sommes ici en dehors de ce qui est normal, nous avons pris en compte les données relevées dans la durée par le CDC, c’est-à-dire depuis 2014 jusqu’à juin 2021. Nous pouvons constater que les chiffres des codes R00-R94 connaissent une courbe exponentielle depuis février




Le système VAERS (Vaccine Adverse Event Reporting System)

Si nous considérons maintenant les décès enregistrés par le Système de rapport des effets secondaires nocifs des vaccins (VAERS) https://wonder.cdc.gov/controller/saved/D8/D173F192, on ne voit que 4964 décès associés aux vaccins pour le COVID19. Mais on sera attentif au fait que la base de données VAERS est bien connue pour ne rapporter qu’une petite partie des cas de décès (1-20% de taux de rapports), cf. https://www.bmj.com/rapid-response/2011/11/02/underreporting-vaccine-adverse-events et https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33039207/



Pour expliquer cette explosion de la courbe des décès résultant de pathologies difficiles à classer cliniquement : ou bien les décès post-vaccinaux sont sous-rapportés par le système VAERS comme on pouvait s’y attendre, ou le CDC a changé sa manière de déterminer les codes R00-R99 en élargissant subitement et sans prévenir son décompte des décès difficiles à classer cliniquement.

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